Les politiques d’immigration du Canada offrent la résidence permanente au Canada et ne voie rapide pour un permis de travail à plus de 500 000 candidats chaque année et le ministre fédéral de l’emploi Jason Kenney dit que c’est un gaspillage inacceptable, que les travailleurs qualifiés qui arrivent au Canada ne puissent pas trouver un emploi. Mais le problème n’est pas dû à un manque de possibilités d’emploi.
Il s’agit de la non-reconnaissance des titres de compétences étrangers qui pose le plus gros problème pour les travailleurs migrants à la recherche de travail au Canada. Abordant cette question à Vancouver Ouest, Kenney, a annoncé un programme de financement de 3,3 millions $ pour que le gouvernement de la Colombie-Britannique améliore le processus de reconnaissance des titres de compétences étrangers, contribuant ainsi à aider davantage d’immigrants à trouver du travail.
Ce financement vise à couvrir plus de 30 projets qui aideront à éliminer les obstacles auxquels font face les nouveaux arrivants qui sont formés à l’étranger, avec un accent particulier en Colombie-Britannique, surtout dans les secteurs de l’énergie et des ressources.
Ces projets comprennent une aide aux employeurs pour éliminer les obstacles pour les nouveaux Canadiens qui entrent dans le marché du travail, la mise à disposition de plus amples renseignements en ligne qui font la promotion des emplois en demande au Canada et de travailler avec les organismes de réglementation pour accélérer le processus de reconnaissance des diplômes.
Selon la Procureure générale de la Colombie-Britannique, Suzanne Anton, avec un million d’offres d’emplois attendues dans la province d’ici 2020, ce n’est pas bon de laisser un groupe de personnes qualifiées croupir parce qu’elles ne sont pas certifiés au Canada.
Kenney souhaite également que le gouvernement bénéficie du système «dysfonctionnel» d’immigration des États-Unis, qui inclut une procédure de visa accélérée pour attirer les jeunes diplômés de l’étranger.
Source: vancouversun.com